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mardi 12 juin 2012

Prix RENAULT FLUENCE neuve en France

RENAULT FLUENCE neuve en France
Fluence DYNAMIQUE DCI 110 FAP ECO2
Catég.: , Diesel, CO²: 120 g/km, : manuelle - 6 vitesses, : 110 CV, 6 CV, 4 cylindres en Ligne 19.664 €

Fluence DYNAMIQUE EDC DCI 110 FAP ECO2
Catég.: , Diesel, CO²: 114 g/km, : automatique - 6 vitesses, : 110 CV, 6 CV, 4 cylindres en Ligne 20.666 €

jeudi 31 mai 2012

Top 20 des ventes d autos neuves en France

1 Renault Mégane+Scénic 43445
2 Renault Clio+campus 43161 
3 Peugeot 207&206+ 38639
4 Citroen C3+Picasso 31925
5 Citroen C4+Picasso 27176
6 Peugeot 308 18320
7 Renault Twingo 16824
8 Peugeot 3008 16619
9 Volkswagen Polo 16055
10 Volkswagen Golf 14656

Les bénéfice de Mahindra s'élève en 2012

L'entreprise indienne Mahindra a augmenté ses bénéfices de 44 % au 4ème trimestre de son année fiscale 2011-2012, close le 31 mars, à 125 millions d’euros, grâce à une forte hausse de ses ventes.
(Financial Express)
automobile Algerie automobile-algerie.blogspot.com

samedi 26 mai 2012

Prix Mtisubishi Algérie

Prix Mtisubishi SUV Pajero Évolution 5place 369 0000 DA
Évolution 7places 374 5000 DA
Prix Mtisubishi Pickup L200 Simple cabine
Active 4x2 148 0000 DA
Dynamique 4x2 166 0000 DA
Prix Mtisubishi Pickup L200 Double cabine
Active 4x2 190 6000 DA

mardi 22 mai 2012

Concessionnaires automobiles en Algérie

DMA
Adresse : : 55 Zone d'activité Kaidi - Bordj el Kiffan - Alger - Alger
Activités : Concessionnaire véhicules industriels
Tél : 021 51 97 62
0550 97 70 38
0550 97 70 42
0550 97 70 35
Fax : 021 51 97 31

TVM
Adresse : : Plateau Ouled Fayet Alger Algérie - Alger
Activités : Importateur et Distributeur de Véhicules Lourds.
Tél : 020 34 41 58
Fax : 021 38 63 26 021 38 67 86
Site web : http://www.tvm-sarl.com

Kiv Foton Motor Algérie
Adresse : : Dar El-Beida - Haouch Bakalam
- Alger
Activités : Vente de véhicules lours et utilitaires.
Tél : 0770 27 00 09
0770 10 13 65
Fax : 021 21 60 40
Site web : http://www.fotonalgerie.com

SEM
Adresse : : Madina El Djadida Autoroute de Dar El Beida, Dar El Beida. - Alger
Activités : Service après vente.
Tél : Mob: 0770 276 740 - 0770 276 562
Fax : 021 51 53 07
Site web : http://www.bm-a.com/sem

mardi 24 mai 2011

Maruti Suzuki Alto

La Maruti Suzuki Alto est l'une des voitures les plus populaires et plus la vente de voitures dans le segment des petites voitures en Inde. Il est disponible en trois variantes: Maruti Suzuki Alto Standard, Maruti Suzuki Alto LX et Maruti Suzuki Alto LXi qui sont BSIII et BS IV conforme. Pour ceux qui cherchent une automobile qui offre des performances optimales, la Maruti Suzuki Alto peut être le choix optimal.
L'Alto vient de la bonne dimension compacte et musclée construite qui en fait le chef de file sur les routes indiennes. Entretien et économie de carburant ne présentent pas que des problèmes alors qu'il possède une Alto. Pas étonnant que la foule indienne, en particulier la classe moyenne, aime cette voiture. L'Alto n'est pas restée la même depuis ses débuts. Selon les besoins des acheteurs potentiels », Maruti Suzuki mis à jour l'automobile.
L'Alto a subi quelques améliorations mineures dans les extérieurs ainsi que les intérieurs. Il a reçu une nouvelle calandre et un pare-chocs sport beaucoup plus généreux. Elle a aussi obtenu lui-même peint en deux couleurs plus cool, Caribbean Blue et le vin rouge. Ci-dessous le capot de cette nouvelle voiture est un puissant moteur 796cc.
Ce moteur peut remuer hausse de 46,3 ch et un couple maximal de 62 Nm. Un 5-vitesses, tous synchronisés, transmission manuelle est standard dans l'Alto. La Maruti Suzuki Alto voiture est dans les deux versions essence et GNV. La suspension avant a une jambe de force McPherson avec le type de torsion le contrôle en roulis appareil. L'arrière de la voiture arbore bobine amortisseurs ressort de l'amortisseur à gaz avec trois essieux lien rigide et isolé bras oscillants.
La qualité de roulement est agréable et confortable. La direction, à la fois, est spongieuse bien. La suspension rigide prend toutes les bosses à lui-même sans l'envoi dans un message sévère des routes en mauvais état pour les occupants. Les freins répondent rapidement et châssis rigide donner l'Alto de conduire son caractère merveilleux.
Bien que l'Alto est basé sur la plateforme de Maruti Suzuki WagonR, il a une identité propre. Un gros pare-chocs avant, une calandre de frappe et une audacieuse Maruti Suzuki badge sont parmi les éléments de design de nouvelles sur le carénage avant. Par rapport à la Zen, cette voiture a un peu à l'étroit intérieurs. L'espace pour les jambes à l'arrière est moindre, mais la marge est généreux. Les sièges sont suffisamment confortables. La console d'instruments est très pratique. Il ya amplement d'espace de démarrage dans la voiture. Le constructeur automobile a bien pensé avant de donner une importance à la pratique plus que la beauté.
Bien que considérée comme une voiture de base, l'Alto a beaucoup de fonctionnalités dans les intérieurs, y compris une AC super cool, une direction assistée électronique, et les détenteurs de coupelle du raccord. La voiture est équipée de sièges en tissu, un tapis moulé, un tapis de coffre, une lampe de cabine, un totalisateur électronique, une console au plancher avant avec porte-gobelets, un plancher arrière de la console, un vide-poches et boîte à gants avant. Cette automobile est élevé sur la sécurité aussi. Il ya la porte d'impact latéral des poutres, un verrou de sécurité pour enfants, projecteurs à lentille claire, casquettes arrière, une colonne de direction télescopique, un cadre monocoque rigide haute faite d'acier, avant de traction et de ceintures de sécurité arrière, freins assistés d'appoint et les appuie-tête arrière du siège.
Deepthi Alvares
Obtenez plus d'informations sur Maruti Suzuki Alto et les voitures Maruti

cet article est traduisé en francais
l'origine de cet article (en anglai):
http://EzineArticles.com/4529836

vendredi 31 décembre 2010

Automobile, Reprendre le contrôle du marché algérien

Automobile, Reprendre le contrôle du marché algérien

Automobile, Reprendre le contrôle du marché algérien

Renault en Algérie ? Les palabres continuent pendant que les finances du pays subissent une véritable hémorragie.

Abdelhamid Temmar a fait des émules. Les multiples promesses de l'ancien ministre de l'Industrie, annonçant le lancement imminent de grands projets dans l'industrie automobile, sont reprises par des successeurs qui semblent tout aussi inconsistants.

De déclaration hasardeuse en sortie médiatique approximative, les responsables du secteur sont en train de discréditer le nouveau projet, en cours de négociation, entre Renault et des parties algériennes difficiles à identifier, alors que les importations algériennes dans ce domaine atteignent un seuil alarmant.

Tel qu'il se présente, le projet en cours de discussion a peu de chances d'aboutir. Non parce qu'il ne serait pas viable ni parce qu'il serait inopportun, mais parce que la démarche engagée est peu convaincante, tant elle accumule incohérences, effets d'annonce mal gérés et absence de visibilité.

Selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi, dont les propos sont rapportés par la presse, le projet bute sur des exigences inacceptables de Renault.

Le constructeur automobile français réclamerait en effet une meilleure protection du marché algérien, avec des restrictions à l'importation, ainsi qu'une participation algérienne à l'investissement, alors que Renault devrait s'occuper tout seul du volet commercial. En parallèle, Renault exigerait une reprise du crédit automobile, qui a permis une explosion du marché algérien durant les dernières années. Qu'exige l'Algérie en contrepartie ?

Que le projet ne se limite pas à une unité d'assemblage mais constitue une véritable usine de fabrication de véhicules, avec un taux d'intégration conséquent et une participation de la sous-traitance algérienne ; il faudrait en outre que Renault s'engage financièrement et « ne se contente pas d'apporter son label», selon la formule de M. Benmeradi.

Ainsi engagée, la discussion va rapidement se transformer en un dialogue de sourds. D'une part, Renault ne peut demander une protection du marché algérien ni une révision de la politique du crédit, car ceci relève de choix politiques du pays, aussi mauvais soient-ils. Si le constructeur français a vraiment présenté ces requêtes, cela signifie que le projet ne l'intéresse pas.

C'est une page qu'il vaudrait mieux tourner tout de suite. Mais le plus inquiétant réside dans l'approche algérienne du projet. D'abord parce qu'on ne sait pas qui va décider. Est-ce le chef de l'Etat ? Le chef du gouvernement ? le ministre ? ou la SNVI qui sera le partenaire éventuel de Renault ? Ensuite, parce qu'on ne sait même plus pourquoi on veut lancer ce projet. La partie algérienne semble attendre les propositions de Renault pour les contrer, les amender ou les accepter.

C'est une démarche qui mène droit à l'échec car, même si le projet est engagé, il sera ingérable pour la partie algérienne, dont l'administration est, de toute façon, incapable d'accompagner un projet d'une telle envergure. A l'inverse, il suffirait de fixer quelques objectifs précis pour définir les contours d'un projet économiquement viable, socialement utile, financièrement supportable et facile à intégrer dans une démarche économique cohérente.

En utilisant au mieux les arguments dont dispose l'Algérie. Et ils sont nombreux. Pour l'heure, l'Algérie a totalement cédé son marché interne aux constructeurs étrangers, sans aucune contrepartie. Une usine en Algérie, qui pourrait satisfaire le quart ou le tiers du marché algérien, serait la bienvenue.

Elle pourrait au moins servir de moyen de pression sur les concessionnaires, en leur imposant un certain nombre de contraintes. L'Algérie est-elle prête à payer pour reconquérir son marché ? Et combien ? La création d'emplois, le transfert de savoir-faire et la maîtrise de la gestion viendraient compléter ce tableau.

A charge ensuite pour les autorités algériennes de créer les conditions nécessaires pour qu'une véritable politique de sous-traitance émerge en Algérie. Si le projet est engagé sous cet angle, le volet financement devient secondaire. L'Algérie dispose de ressources financières dont elle ne sait que faire. Autant les utiliser pour réduire la facture des importations automobiles, qui atteint les trois milliards de dollars par an.

Selon les projections les plus fiables, ce marché devrait atteindre cinq milliards de dollars avant 2015. Tout gouvernement sérieux se doit de s'inquiéter et de faire en sorte qu'au moins la moitié de cette demande soit satisfaite par la production locale, ce qui aura des effets immenses sur le tissu industriel du pays.

Ces seuls aspects devraient inciter à une prise de risque maximale. A moins qu'on ne veuille maintenir une dépendance totale du marché algérien envers les importations. Ou, ce qui est plus probable, que l'administration algérienne soit incapable de concevoir, de piloter et d'exploiter le projet.

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